Progrès et pollutions
Fléau des industrialisations galopantes, les rejets et pollutions de toutes sortes ont été les externalités négatives de notre développement et croissance économiques.
Quasiment tous nos éco-systèmes à l’échelle planétaire sont atteints par ces soulliures : atmosphère, sols, rivières, fleuves et mers contiennent de nombreux polluants (quelques 3000 produits toxiques recensés actuellement)…
Métaux… lourds ou pas !
Les métaux lourds (mercure, plomb, etc…) ont été historiquement appelés ainsi dans la chimie moderne initiée depuis le XVIIIème siècle par John Dalton, car ils se déposaient lors de solutions, dans le fond des récipients.
Avec les avancées et progrès de la chimie fin du XIXème et du XXème siècle, d’autres métaux ont été découverts (aluminium, zinc, cadmium, lithium, etc…) tout aussi délétères mais beaucoup plus légers que les précédents, et qui ne peuvent donc plus être qualifiés de métaux lourds…
Comment les métaux traces toxiques pénètrent nos organismes
Les métaux traces toxiques, historiquement appelés métaux lourds pénètrent l’organisme de plusieurs façons :
- par voie percutanée : mercurochrome et autres désinfectants, cosmétiques,
par voie digestive : aliments contaminés (poissons gras), eau, amalgames dentaires, - par inhalation sous forme de vapeurs comme lors d’un traitement dentaire ou de poussières,
- par transmission materno-foetale…
- par injection ou inoculation : présence de sels mercuriels et d’aluminium, de conservateurs divers ou d’adjuvants dans les vaccins…
Combinaisons de ces métaux…
Sur phénomène naturel ou action de l’homme, les métaux ou « non-métaux » (arsenic, antimoine) forment des liaisons avec des composés organiques (carbone, hydrogène par exemples) appelées composés organométalliques :
- organomercuriques : intoxication au Mercure comme au Japon dans la baie de Minamata où durant plus de 30 ans (de 1932 à 1966) l’industrie pétro-chimique empoisonna l’océan et les populations littorales,
- organochlorés : poudres DDT, PCB et dioxines…,
- organobromés utilisés pour leurs propriétés anti-feu,
- organofluorés (CFC).
qui sont de dangereux neurotoxiques (empoisonnant le système nerveux) et reprotoxiques (attaquant l’appareil reproducteur) ou de redoutables perturbateurs endocriniens (déstabilisant notre système hormonal)…
Métaux stockés dans les graisses
Ces métaux sont stockés dans les masses adipeuses c’est-à-dire les graisses. C’est pourquoi on les retrouve en plus forte proportion dans les poissons gras (thons, saumons, …).
Attaques fatales…
En bloquant échanges membranaires et réactions enzymatiques, c’est au fondement même de la vie que s’attaquent les métaux dits lourds. Aucune de nos cellules n’est alors épargnée créant l’émergence de symptômes neurologiques, sensoriels et moteurs tels :
- réduction du champ visuel,
- altération de l’audition,
- troubles de la sensibilité,
- altération de la parole,
- perte de coordination des membres (ataxie),
- convulsions et tremblements,
- troubles mentaux, notamment chez les enfants nés de mères contaminées,
- et encore d’autres indispositions ou maux latents…
Détoxifier régulièrement l’organisme
D’où l’importance de dépister les métaux indésirables, d’identifier le niveau de notre intoxication puis de détoxifier ou détoxiner régulièrement notre organisme.
La méthode de dépistage des métaux toxiques la plus répandue consiste en l’analyse de cheveux ou de poils. Ces analyses permettent aussi de dresser un état des lieux de vos oligoéléments.
D’autres méthodes existent également par des analyses :
- d’ongles,
- d’urine,
- de sang,
- de salive,
- de selle,
- de l’iris.
Détoxifier l’organisme en douceur par l’oligothérapie
Au Panier du Bien-être, nous avons sélectionné l’analyse minérale des cheveux par le laboratoire Suisse de référence en matière d’oligothérapie : Bioligo de Michel et Fréderic Deville